Soyons franc, Dean est un peu superficiel, assez égoïste, imbus de lui même et plutôt dur. Oui, ce ne sont pas que des qualités je vous l'accorde, pourtant le jeunne homme en as, beaucoup, mais bien cachées au fond de lui. Il est par exemple assez généreux avec ceux qui n'ont pas eu de chance, ne croyez pas que si une fille se plaint au près de lui de ne pas avoir eu la robe qu'elle voulait pour son anniversaire, il va l'aider, ça non. Mais de temps en temps porté par un élan de gentillesse, il peut décider sur un coup de tête de faire un don à un hôpital ou d'aller fair eun tour à l'orphelinat, dans le plus grand secret, bien entendu. Il est ferme et autoritaire, adorant être dominant, il ne se laisse pas faire. Il y a pourtant de nouveau une explication à son comportement. Dean a vite compris que les gens essayeraient d'obtenir des choses de lui, des choses qui pourraient leurs faire plaisir, mais aucunement des choses dont ils ont besoin, alors il préfère aider des gens triste, seul et désespéré que des gosses de riche, comme lui. Non malgré qu'il en soit un, le jeune homme supporte difficilement ses semblables. Bref pour résumer, Dean sera hypocrite, mais s'il déteste les gens qu'ils le sont, superficiel, égoïste, mais dans certain moment et en particulier avec une certaine fille, il dit des choses profondes, gentilles et jolies. D'un point de vue féminin il doit être dur à vivre.

Dean est un garçon porté sur l'apparence et ne nous mentons pas, presque tout le monde. Côté physique disons qu'il a été gâté par la nature, quand on le croise dans la rue, on le remarque facilement, il a un style qui font penser qu'il est mature, décontracté, mais élégant. Il est musclé, pas extrêmement, mais on peut facilement deviner des abdos sous son T-shirt. Ses cheveux sont sauvage et d'un blond plutôt clair ce qui constitue une partie de son charme, mais bien sûr ils vont de paire avec ses yeux bleu claires dans lesquels les jeunes filles se plongent facilement à leurs risques et périls. Il a des traits fin, mais malgré tout masculins et il s'est petit à petit forgé une attitude viril. Donc dans l'ensemble Dean plaît aux femmes et comme ce coquin le sait, il a parfois tendance à en profiter un peu, disons que son tableau de chasse se remplit petit à petit tout comme son lit. Pourtant cet enchaînement n'est-il pas un moyen d'essayer d'arrêter chaque sentiments qui pourrait poindre le bout de son nez sous la carapace du jeune homme ?

-Alors comment ça s'est passé?

Pour tout te dire, je suis né dans une clinique luxueuse de New York, le huit Août 1989. Mes parents avaient déjà un enfant à cette époque ; Suzie. La raison réelle de ma venue au monde n'est autre que le dépit de mon paternel, disons que ma mère et lui n'avaient presque plus de vie de couple, alors je suis arrivé, ils pensaient que ça relancerait la passion et ils étaient sûr que ça marchait. Bon, pas besoin de dire que leur métier en étaient la principal cause, une maman grande actrice et un père roi du pétrole, il était logique que leur couple se dégrade tout comme ma relation avec chacun d'eux. D'un autre côté, maintenant que je regardes le passé, je ne regrette rien, car c'est ce qui nous a permis à ma soeur et à moi d'avoir une relation spéciale. Oui, ma soeur et moi sommes très complices, nous sommes très proches et avons toujours tout partagés y compris l'argent que nos parents nous donnaient pour combler leurs absences. J'ai du reste bonne espoir qu'elle nous rejoigne ici sous peu, bref. Plusieurs fois le soir, très tard, Suzie et moi faisions de plan pour partir loin de chez nous et dans nos projets, nos parents devaient remarquer à quel point ils tenaient à nous et tout abandonnés pour nous retrouver, le rythme au quel nous rêvions de ce scénario s'intensifia, lorsque mon père se rendit compte qu'il aimait les hommes, alors il partit, simplement, il s'enfuit de la maison avec un autre homme. Que dire à part que l'estime que j'avais jusque là pour lui déjà très basse fini par atteindre une telle profondeur que je ne repris plus contacte avec lui. Il s'était enfuit comme un lâche, laissant tout derrière lui, sa vie, ses enfants, celle qui avait été sa femme pendant longtemps. Dans les premiers temps, ma soeur et moi rêvions alors qu'ils se retrouvent et que comme dans les film, on forme à nouveau une famille, évidement dans notre idylle nous serions bien plus soudés. Mais comme je l'ai dis, nous avons fini par arrêter, malgré le fait que j'avais onze ans, je compris que mon père ne valait rien ou du moins pas grand chose, c'est ainsi qu'il disparu définitivement de ma vie ...

- Mais ensuite ?

Ma mère tomba très bas. On lui diagnostiqua une grosse dépression ainsi qu'une lourde addiction pour l'alcool. Les liens qui nous liaient les trois, ma soeur, ma mère et moi se resserèrent un peu plus. Ma mère quitta son travail et nous partîmes vivre en Nouvelle Orléans, je ne su jamais ce qui avait poussé ma mère à faire ce choix, pourtant quelque chose me dit que le changement qu'elle y voyait n'y était pas pour rien. *Rire* Bref donc à onze an, je fus placé dans une école privé, ou je devins rapidement populaire, il y en avait toujours pour moi. Certes tout le monde m'aimait sauf une petite fille, mais j'y reviendrais plus tard, je continuais ma vie, me découvrant trois passions ; L'écriture, la photo et le cinéma. Pourtant arriver au lycée, où j'enchainais les conquêtes, je pris la voie du Marketing, cela me plaisait aussi. Je grandis et un jour cette petite fille dont je t'es parlé me parle de ce concours, alors voilà je suis arrivé ici.

- Cette fille c'est celle dont tu m'as souvent parlé Cassidy non?

Oui, je l'ai rencontré à l'âge de douze ans. Alors que je fréquentais ma nouvelle école depuis pas longtemps, moi, le nouveau venu de New-York ultra branché remarquai vite que tout le monde rejetais la petite Cassy, chouchoute du prof à temps partiel. Inutile de dire que pour être bien vu de tous et être intégré rapidement je fis de même. La seul excuse que je trouves à mon comportement était mon manque de confiance en moi évident qui avait été renforcé par le départ de la figure paternel et viril de la famille, heureusement je le remplaçai bien vite. Quoi qu'il en soit j'en fis vivre de toutes les couleurs à la blondinette qui à mon grand étonnement riposta comme une bête, elle était digne, malgré tout ce qui lui arrivait elle ne baissait pas les bras. Bref une fois nous fûmes punis ensemble, j'avais alors quatorze ans et au moment ou nous nous retrouvâmes seuls, je lui exprima mon pardon. Oui je la savais innocente vu que c'était moi qui avait mit la pagaille, bref de fils en aiguille nous devînmes meilleurs amis. Grandissant ensemble, elle s'entendait bien avec tout ceux que j'aimais, mon meilleur ami que je perdu de vue bien vite, elle connu tout ceux qui eurent ou qui ont encore une importance capitale dans ma vie. Nous avons beaucoup traversé ensemble et maintenant elle nous a inscrite à ce concours, que dire à part que je suis confus, car je ne sais toujours par avec exactitude la nature de mes sentiments pour elle, qui semble aussi un peu perdue. Qui vivra verra...